Un avis, publié au JO du 21 octobre, entérine des baisses de prix et de prix limites de vente, à compter du 1er novembre, pour environ 200 produits concernant la nutrition, les matelas coussin, le contrôle de la glycémie, les poches stomies, la nutrition orale…
L’UNPF a refusé de signer les conventions de baisses de prix et a signifié au CEPS (Comité Economique des Produits de Santé) qu’elle ne pouvait cautionner de nouvelles baisses.
Elle a rappelé que la profession n’avait toujours aucune visibilité concernant l'évolution du métier et sa capacité à investir de nouvelles missions, tel que le pharmacien-clinicien ou le pharmacien-expert en soins de premier recours et aiguilleur dans le parcours de soins.
L’UNPF a précisé qu’il fallait pouvoir offrir de nouvelles alternatives pour notre métier dans un schéma conventionnel ou non... (Nous travaillons déjà avec les complémentaires pour une meilleure prise en charge de nos concitoyens).
Enfin, l’UNPF a alerté le CEPS sur les conséquences de ces baisses de prix pour le réseau et a refusé ce choix politique.